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"Gender à l'école : attention danger ! Pour nous réveiller, réécoutons le père Daniel Ange invité de Radio Notre-Dame le 3 juin dernier. Le fondateur de l'école d'évangélisation Jeunesse Lumière y a tiré la sonnette d'alarme. Un livre urgent également : SOS la vie, politiquement incorrect, éditions de l'Emmanuel, Jubilé. Extrait : « Ce que je voudrais, c'est que tous nos pasteurs soient conscients de la gravité de l'enjeu, j'ai encore très peur qu'il y ait beaucoup d'évêques - et j'en connais plusieurs - qui osent interdire à leurs prêtres d'aller aux différentes manifs, d'en parler dans leur paroisse. Je trouve cela - je m'excuse, je m'excuse - quasi criminel ! Ce serait criminel si c'était conscient. Quand je vois qu'il y a quelques jours notre pape François a dit aux évêques italiens : "Les bergers doivent être vigilants sur le peuple qui leur est confié. Ils doivent être des sentinelles qui avertissent quand le loup arrive. Or le loup n'arrive pas, il est déjà chez nous ! » Je participerai aux rendez-vous de Liberté politique à l'Espace Bernanos, ce mercredi 12 juin : "Morale laïque, gender et liberté à l'école de Vincent Peillon" H.B."

"Morale laïque donc à l'école primaire. Bonne intuition sans doute de considérer que c'est tôt qu'on donne les bonnes habitudes, qu'on forme un esprit. Quiconque a un jour ouvert la table des matières d'un manuel d'éducation civique d'antan n'aura pas manqué de voir déjà les profondes ressemblances avec un catéchisme [3]. Les hussards de la république avaient à cœur, sur fond d'anticléricalisme pourtant, de dispenser bien plus que le socle des fondamentaux de calcul ou de lecture. Il n'y avait pas que des têtes à remplir. Au cœur de leur transmission, une exigence de morale également. Cette morale à peu près partagée par tous était en réalité un fond de morale chrétienne qui avait irrigué au-delà de la France, toute notre Europe. Ne pas voler, ne pas faire de tort à son prochain, ne pas faire le mal, faire le bien, respecter ses parents, son père, sa mère. Les valeurs d'héroïsme même n'étaient pas de reste. L'école du diable n'était peut-être pas alors si diabolique ! Il y a fort à parier que nos instituteurs laïcs se retourneraient sans doute dans leur tombe à la lecture des dernières directives de l'EN concernant par exemple l'introduction du « genre » à l'école primaire. Dernières directives écrites et voulues par ceux-là même qui prétendent leur être fidèles ! On rêve ! Je peux en parler librement moi qui ai eu tant de membres de ma famille athées, un grand-père ayant servi cette école-là. Avec compétence et dévouement."

" raisons de voter contre le projet Peillon 1- Temps de présence allongé. Sous prétexte de codifier trois types de missions (d'enseignement, liées à l'enseignement, complémentaires à l'enseignement,) le temps de travail des professeurs sera défini dans le cadre annualisé de la « réglementation générale de la fonction publique », soit 1607 heures!"

"n place depuis quelques mois, un satellite du collectif, VigiGender, les a mobilisés à nouveau le 4 juin dernier - plus d'une soixantaine de volontaires - pour parcourir les rues de Paris et coller dix-huit mille autocollants. Détermination et motivation ont caractérisé des équipes jusqu'à point d'heure. But de l'opération ? Inviter à participer à la consultation nationale sur les ABCD de l'égalité déjà en expérimentation dans certaines académies. Une simple question sur l'autocollant orangé : « Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés ? » H.B."

"Après le conflit avec les prépas, au tour du secondaire ! Le 27 mars aura lieu le vote concernant la modification du statut des enseignants. La fonction sera notamment redéfinie en limitant l'enseignement à une tâche parmi d'autres missions dont la définition reste cependant très floue. Ces missions viendront bien sûr s'ajouter au service sans rémunération supplémentaire ni décharge. "